Résumé :
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Jusqu'à une date récente, ces Œuvres de jeunesse d'A. J. Greimas, et tout particulièrement les deux thèses encore inédites, La mode en 1830 et Quelques reflets de la vie sociale en 1830, auraient pu paraître des travaux de lexicologie historique bien éloignés des recherches contemporaines. Aujourd'hui, ils affichent une étonnante convergence avec ce qui constitue la pointe avancée des travaux sémiotiques européens, à savoir les résultats de la sémiotique des passions et toutes les études qui en ont découlé en ce qui concerne le goût, la perception, la sensibilité, et leur sémantique. (Extrait de l'éditeur)
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